T'es qui toé? Marc-Étienne Mongrain
LePetitRusse, ça te dit quelque chose ? C'est un photographe qui croque des beaux portraits d'artistes. Souvent en coulisse, jamais conventionnel, ses photos teintées par la nostalgie donnent une envie soudaine de Rock n' Roll. LePetitRusse est un adepte du Up Here depuis l'an 1. On l'a rencontré, question de savoir qui se cache derrière cette mystérieuse lentille...
Nom : Marc-Étienne Mongrain
Âge : 35 ans
Profession : Photographe
Freak, Geek ou Preppy ? Geek. Je suis level 72 à Borderlands 2. C’est mon claim to fame.
C’est quoi ton rapport avec Sudbury ? C’est la ville du ROC où j’ai passé le plus de temps. J’aime les gens fous qui veulent que leur ville bouge.
Avec qui iras-tu au Up Here cette année ? J’ai un lift avec Duchess Says pour monter. Je sais d’ailleurs pas encore comment je reviens…. Alors si jamais y’a une place dans ton char quand tu retournes à Montréal… Let me know!
C’est quoi ton rôle face au Up Here ? Je prends des photos, surtout backstage, des groupes qui y jouent. J’ai la mini prétention de penser qu’un jour quand on va tous être trop vieux pour rocker, y’aura une certaine valeur historique à mes photos.
À quoi as-tu le plus hâte ? Les Fleshtones, le temple romain et le party “secret” du dernier soir.
À quoi as-tu le moins hâte ? Un rush de l’usine?
Ton meilleur souvenir du festival c’est … Le dernier show de la première édition. D’être témoin de tous ces gens qui ont travaillé fort et qui étaient tellement fiers de leur coup. Y’a une rumeur qui dit que j’aurais peut-être versé une larme.
Que conseilles-tu aux nouveaux festivaliers ? Achète des cigarettes pendant la journée. Le soir y’en a nul part. Oublie pas que le last call vient toujours trop vite.
Je ne sais pas pour toi, mais j'ai déjà hâte de voir quelles photos sortiront du passage au Up Here de Marc-Étienne. D'ici là, j'ai bien hâte de le croiser, peut-être à la grotte, peut-être à la recherche de cigarettes. Dans tous les cas, on sait maintenant comment l'amadouer ! Faut lui trouver un lift de retour.
Par Claudine Gagné